À QUELLE DATE NOUS Y ÉTIONS
Nous y sommes restés du 22 au 24 mars et du 30 mars au 2 avril 2009.
DE PARIS À MIAMI
C’est le 22 mars, en fin d’après midi, que nous avons atterri à Miami, après 9h25 de vol. Comme d’habitude,la douane américaine nous a accueillis avec beaucoup de délicatesse et d’attention ! Prise d’empreintes de tous les doigts, photo d’identité avec mon plus beau sourire, et une multitude de questions pour savoir si moi pauvre français de la vieille Europe, sans avenir particulier et avec un travail à la limite du respectable, je ne venais pas sur leur sol, en vue de m’y installer tranquillement pour profiter de tous leurs acquis sociaux… Franchement, il faut vraiment que l’on retrouve celui qui est chargé du recrutement des douaniers américains !!! Qu’il les fasse voyager ces pauvres hommes !!!
MES IMPRESSIONS
Miami et ses maisons de rêves, Miami et ses kilomètres de plages, Miami et ses eaux turquoises, Miami et son soleil…
Vous l’aurez compris, j’ai adoré ! Nous, c’est à Miami Beach (municipalité depuis 1915) que sommes restés les trois quarts de notre temps, car c’est là que tout se passe! Bon c’est vrai que pour tout ce qui se déroule après 21 heures, on ne pourra pas en témoigner (n’est-ce pas Sam ?).
Profitez donc de Miami Beach le matin, car c’est là que la ville est la plus calme. En effet, les clubbers finissent leur nuit et les retraités peinent à se lever… Alors un bon petit déjeuner en terrasse et direction la plage !
À VOIR, À FAIRE
Miami Beach
Le saviez vous ?
Miami beach est une municipalité et non un coin de plage de Miami ! C’est un lieu très sympa, où la plage est superbe et l’eau franchement sublime ! Un petit régal le matin, avant le réveil des clubbers, il n’y a pas un chat sur la plage !
Quartier Art Déco
Surtout concentré sur Océan Drive, la route longeant la plage de Miami Beach, le quartier Art Déco mérite vraiment le détour. Absolument tranquille la journée, il prend des airs surréalistes le soir, avec des défilés de voitures plus magnifiques les unes que les autres, des terrasses pleines à craquer, et de la musique cubaine à tue-tête…
Star Island
C’est peut-être le kitsch du kitsch, mais franchement j’ai adoré ! Faire un tour de bateau au milieu des îles de milliardaires, et voir comment eux ils ont réussi, et pas nous (lol), c’est le top !
Prix : 20 $ par personne pour environ 1h30 de croisière avec la Compagnie Fiesta Cruises au départ de Bayside Market Place.
Si comme moi, vous vouliez vous promener non loin des maisons de stars sur un yacht à 20$ de l’heure, c’est raté ! Le notre, était plus proche du Titanic en train de couler, que du bateau de milliardaire !
NOUS Y AVONS DORMI ET MANGÉ
Hôtel Sofitel
C’est à l’hôtel Sofitel de Miami que nous avons élu domicile. Hôtel assez impersonnel, et assez excentré par rapport à Miami Beach. Je vous conseillerai plutôt de vous loger près des plages… mais vous devrez sortir votre porte-monnaie !
Prix de la nuit : 70 $ (réduction Accor)
Le Café des Arts
Situé dans une des rues les plus commerçantes de Miami, le Café des Arts est pourtant un endroit calme où il fait bon prendre son petit-déjeuner (très bons croissants). Seul hic, l’accueil y est assez froid, mais une fois que le café est servi et que le soleil vous réchauffe le visage, on oublie vite ce côté négatif…
Prix pour un breakfast : environ 10$ par personne.
Adresse : 1360 Collins Ave., Miami Beach, FL 33139
Le Jerry’s Famous Deli
C’est un restaurant à l’américaine avec une immense salle et les traditionnels « compartiments ». C’est au comptoir du bar que nous avons pris notre breakfast (j’adore !).
Si le premier jour, j’ai cru que nous devrions débarrasser nous même notre table et faire nous même la vaisselle, notre vieille serveuse s’est révélée au final assez sympathique…
Prix : environ 10 $ par personne.
L’Eleventh Street Diner
Un bon restaurant style « diner » où nous avons mangé une viande succulente, le tout servi copieusement ! Restaurant où ont été tourné des scènes du film RTT avec Kad Merad et Mélanie Doutey.
Prix : environ 50 $ pour deux.
Adresse : 1065 Washington Ave.
